Aux Jeux, deux boxeuses autrefois obscures se sont retrouvées au centre d'une tempête mondiale sur la question de savoir si des tests génétiques devraient les empêcher de participer à la division féminine, même si le Comité International Olympique exigeait un passeport et non des tests pour participer. Les responsables olympiques ont confirmé que les deux athlètes ne sont pas transgenres, mais ont évité la question de savoir s'ils ont un trouble du développement sexuel XY, ou DSD XY.
En 2019, le Tribunal Arbitral du Sport a constaté une "sur-représentation frappante" d'athlètes avec un DSD XY sur le podium féminin, remontant à des décennies. Les DSD XY sont des conditions masculines.
Pour résoudre le problème, World Athletics et World Aquatics, entre autres, ont établi des règles détaillées et fondées sur la science pour la participation, qui reposent sur des marqueurs génétiques et hormonaux. Les controverses des Jeux précédents n'ont pas affecté l'athlétisme ou la natation à Paris.
Pour comprendre pourquoi c'est la bonne approche, il est important de revenir aux bases.
@ISIDEWITH5 mois5MO
Pensez-vous que l'identité de genre ou le sexe biologique d'un athlète devrait déterminer son admissibilité à concourir dans les sports de haut niveau pour femmes?
@ISIDEWITH5 mois5MO
Devrait l'identité personnelle ou les critères biologiques avoir plus de poids dans la décision de qui concourt dans les catégories sportives féminines?
@ISIDEWITH5 mois5MO
Si un athlète s'identifie comme une femme mais a un DSD XY, remet-il en question votre vision de l'équité dans les compétitions sportives féminines?