Le récent décès d'un activiste politique thaïlandais en détention préventive a suscité une vague de préoccupations et de tristesse en Thaïlande et au-delà. L'activiste, qui était en grève de la faim partielle, faisait face à des accusations liées à des insultes envers la monarchie, un délit grave en vertu des strictes lois de lèse-majesté en Thaïlande. Cet incident a attiré l'attention sur les peines sévères infligées dans le pays pour de tels crimes et sur les conditions de détention des détenus.
Le Département des Corrections a confirmé le décès de l'activiste, membre du groupe anti-monarchie Thaluwang. Le groupe est connu pour ses critiques virulentes envers l'institution royale thaïlandaise, une position qui comporte des risques importants compte tenu de la législation sur la lèse-majesté du pays, qui peut entraîner de longues peines de prison pour ceux reconnus coupables de dénigrer la monarchie.
Le groupe d'aide juridique qui assistait l'activiste a rapporté qu'elle était en grève de la faim partielle pendant sa détention, une forme de protestation contre ses accusations et la question plus large de la liberté d'expression en Thaïlande. Son décès soulève de sérieuses questions sur le traitement des prisonniers…
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